Wednesday, March 22, 2006

Arno Hagenaars takes Banjorama by storm

The annual Banjorama in Springfield, Ohio, USA was great and very nice banjo show, with lot of friends and with great hospitality shown by Patty and Dr. Phil Cain. The Cains have been doing the Banjorama consequently for 22 years now.
All these great guys were present: Springfield Banjo & Brass, Charlie Khederian, Gold Dust Twins, Bobby McBryde, Ted Wallace, Georg Rigel, Joachim & Arno, Jersey Jammers, Harley McCabe, Bill Moynihan Vicky Youngman Trio, Morgan & Sherry Humecky, Jim Barrett, Greg Allen, Kettering Banjo Society, Hoosier Banjo Band, Tim Wolf, Dale Fogle, Weirnot Brother and Pearl, Jeff Grosser, Banjo Busters, Ragtime Riverboat Rats, Coconuts Shakers and the Mal Cooper Trio.
Arno Hagenaars was also on the program. It was my idea to introduce Arno Hagenaars to the Banjorama programme. He is an outstanding tenor player from Bergen op Zoom, Netherlands and he came with his friend Erwin Leys (a great piano player) to play. Their performance earned them a standing ovation. I think that says it all!

Eine schöne und familiäre Veranstaltung, mit vielen Freunden und einergroßartigen Gastfreundschaft von Patty und Phil Cain. Diese Veranstaltunggibt es schon seit 22 Jahren.Im Program waren u.a. :Springfield Banjo & Brass, Charlie Khederian, Gold Dust Twins, Bobby McBryde, Ted Wallace, Georg Rigel, Joachim & Arno, Jersey Jammers, Harley McCabe, Bill Moynihan, Vicky Youngman Trio, Morgan & Sherry Humecky, Jim Barrett, Greg Allen, KetteringBanjoSociety, Hoosier Banjo Band, Tim Wolf, Dale Fogle ,Weirnot Brother and Pearl, Jeff Grosser, Banjo Busters, Ragtime Riverboat Rats, Coconats Shakers, Mal Cooper Trio, Arno Hagenaars und Erwin Leys. Ich bin froh, daß ich Arno zum Besuch dieser Veranstaltungen(Springfield+Dearborn) habe überreden können. Der Erfolg bestätigt dies. Es gab für Arno und Erwin lange "standingovation", das bedeutet in der dortigen Scene sehr viel.

Joachim Hippenstiel
Germany.

Farewell Narvin Kimball


Narvin Kimball, last original member of the Preservation Hall Jazz Band, passed away 17 March, 2006 at the age of 97. He was committed to passing on the music to today’s young musicians. The Preservation Hall Jazz Band started in 1966 as a collection of 120 New Orleans old-time musicians playing in a French Quarter art gallery. When Narvin Kimball (at age 57) joined the original Band, he was its youngest member at the nightly performances while delivering U.S. mail during the day.As a mail carrier for thirty-five years, he never missed a single day without pay and was late only three times. The pride of his tenure with the Post Office and his professionalism with the PHJB showed as he was immaculately attired in his appropriate mail or musician uniform with shoes shined and shirts cleaned and pressed.
Playing professionally since the 1920’s and making his recording debut in 1928 on Columbia Records, he was told to "wait his turn" to be the PHJB leader, as senior band members preceded him in that role. These included Willie and Percy Humphrey, Dede and Billie Pierce, Jim Robinson, Cie Frasier, Kid Thomas and George Lewis. They, and others, have all passed on, Narvin Kimball was its sole original practitioner.
Born in New Orleans in 1909 and the son of Henry Kimball, a well-respected New Orleans bass player who performed in the Crescent City at the turn of this century, Narvin quickly earned a reputation as a dynamic left-handed banjo player. During the 1920’s while playing with the highly regarded Fate Marable Band on Mississippi River boats, he established musical relationships with musicians he would perform with for decades. One was Willie Humphrey, another original member of the PHJB and with whom Narvin would play for over 60 years before Willie's passing in 1996.
From 1935-1960, he played the string bass with popular swing groups including the Sidney Desvigne orchestra. Today we are seeing a resurgence of swing music, of which he was an original member.In 1960, he returned to his banjo playing. Narvin’s playing and singing quickly became a favorite of the Preservation Hall Jazz Band, which started a few years later. With the PHJB he performed throughout the world and with the country’s major symphony orchestras, including the San Francisco Symphony. His vocal rendition of Georgia, a crowd pleaser, was guaranteed to bring a tear to one’s eye.
Whatever Narvin did, he was eloquent. Whether it is his singing, banjo playing, or dressing – it was always impeccable. He was the consummate professional. He is survived by his wife, two daughters, four grandchildren and seven great grandchildren.

Monday, March 20, 2006

Premier essai d’un Jazz Banjo Festival à Bruxelles



Le Jour J est derrière le dos. Ouf! La partie est réussie.
Certains sont venus de France (4) d'Allemagne (5) et une flopée pas prévue de Hollande qui ont été très actifs dans les jams. Sans compter les invités: Bernard Schwenter venait de Suisse et Tom Stuip des pays-Bas . Marcel Deneve a été impeccable dans son rôle de présentateur, attentif à ce qu'il avait à faire, très à l'écoute des participants, menant bien la danse. Tout le monde m'en a dit beaucoup de bien.
La journée à commencé en force avec la première jam. En un instant les banjoïstes étaient prêts à jouer et à s'amuser. Fred à la contrebasse, Rob à la clarinette et Marcel lancait la machine : à chaque chorus un autre banjo prenait le solo tandis que les autres strummaient avec énergie et bonne humeur. L'humour aussi était au rendez-vous. Marcel suivait le soliste en action avec le micro, pour que tout le monde puisse bien l'entendre et chacun avait son style et sa richesse personnelle. J'avais fait un programme pour la jam et préparé diaporama avec les grilles d'accords projetées sur un mur. Pas de discussions sur le choix de tonalité ou de morceaux, ni d'hésitations de ceux qui ne connaissent pas le morceau ou qui seraient habitués à le faire dans une autre tonalité. Pour ça cette idée de projection a été un plus que les Allemands et les Hollandais ont décidé de garder pour leurs fesivals.
Le concert de 14h avec Leo De Potter (Gand) et Remco Houtman-Janssen (Hollandais de Gand) Un très beau duo très équilibré : un banjo ténor et un plectrum, c'est une combinaison très complète d'autant plus que le banjo plectrum était de temps en temps remplacé par un banjo ukulélé: un son et une techique de la main droite qui ont suscité beaucoup d'intérêt et de bonheur; Puis un le Düsseldorfer banjo club amené gracieusement par Achim Hippenstiel (Merci Achim) Pour leur dernier morceau achim a invité les banjoïstes belges à se joindre à eux (sympa Achim) 15 h Deuxième Jam: même bonne humeur même entrain 16h Un choix entre deux workshops : l'un par Bernard Schwenter sur la façon de travailler efficacement son instrument était donné en français : un tas de petits trucs reçus par chacun de nous comme un cadeau et une matière à réflexion.
L'autre donné en Anglais ou en Néerlandais par Tom Stuip sur la technique de rythme de la main droite : je n'y étais pas mais je peux dire que je les entendais de loin mettre en pratique (et en choeur) les triplets shuffle et autres trémolos. 17h Le deuxième concert : les "Two Tenors", un duo qui nous venait du nord des Pays-Bas. Je les avais entendus à Bussum, ils m'avaient plû , ils ne m'ont pas déçue à St Josse. Pour nous banjoïstes belges qui sommes habitués à jouer avec un jazzband je crois que c'était très intéressant d'apprécier une autre façon de mettre notre instrument en valeur. Puis Mattias Hallin. Il est suedois (mais il vit à Bruxelles) : Chouette Mattias, il est mon voisin et je ne l'avais jamais entendu. Je lui redemanderai l'année prochaine : beaucoup d'entrain et d'énergie, il connaît son affaire.
Et pour terminer Etienne Coulon celui que tout le monde connaît chez nous et apprécie pour sa rythmique et ses harmonies géniales. 18h rejam, 19h pause avant le concert du soir
On a l'occasion d'essayer ces merveilles de banjos amenés par Achim, Dag, Jean-Marie et d'autres. Ils étaient exposés toute la journée dans les belles vitrines de la Jazz Station : un vrai look de musée. Et enfin le concert du soir : Tom a fasciné l'auditoire. J'avais beaucoup de plaisir à observer les mines réjouies du public.Tom était accompagné par son épouse Arlette à l'accordéon et par notre Marcel national qui a assuré la basse au pied levé et...de main de maître.
Et Bernard Schwenter, lui aussi a clôturé cette journée en apothéose avec son concert plein d'humour et de poésie, mais aussi de talent.
Cette Journée était un premier essai, les encouragements et remerciements me sont déjà venus de tous les côtés et la version 2007 est en train de prendre forme dans la têtes de quelques belges mordus comme Leo De Potter, Etienne Coulon et moi même.
Un tout grand merci à l’équipe de la Jazz Station pour son accueil, son lieu magnifique (acoustique excellente) son soutien moral et financier, avec une mention toute particulière pour Jean Demannez qui nous a soutenus dans ce projet et à Yannick Karijn qui n’a pas ménagé sa peine dans la réalisation de ce projet.

Catou Pecher


Compte rendu de la journée du 4 mars à st-Josse Ten Noode.
Premier essai d’un Jazz Banjo Festival à Bruxelles.
J’arrive dans un endroit au premier coup d’œil, splendide et superbement restauré par la ville et qui ce prête tout à fait à l’événement.
L’acoustique y est superbe. N’étant pas le premier arrivé, j’ai eu la joyeuse opportunité d’entendre 20 à 30 banjoïstes faisant la jam et c’est peu dire, le déplacement en vaut la peine. Une série de petits concerts s’en suivirent et là…grandes découvertes, à savoir, Remco Houtman et son banjo ukulélé ainsi que son acolyte Leo de Potter.
Une très belle exposition d’instruments à la fois rares et d’une très belle qualité en général. Quelques workshops intéressants présentés par Tom Stuip et par Bernard Schwenter.
Ensuite jam et rejam, sans oublier un duo de banjoïstes hollandais An van der Wal et Hein Overbeke, qui était digne d’intérêt vu l’originalité de leur répertoire.
Arrive le concert du soir avecTom Stuip : c’est splendide et plein de richesse de jeu.
Puis, Bernard Schwenter et là pour ma part c’est l’apothéose : un spectacle plein d’humour et très original.
C’est avec grand intérêt que j’attend la cuvée 2007.

Etienne Coulon.

Harry Reser


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